Qu’attendons-nous de notre employeur·e et comment il ou elle nous le rend (plus ou moins) bien ? Zoom sur le Contrat Psychologique Souhaité

Nos attentes vis-à-vis notre employeur·se dépassent les éléments contractuels et objectifs inscrits dans notre contrat de travail. Même si celui-ci est respecté, nous pouvons ressentir un débordement, une colère, une envie de quitter l’organisation, voire un sentiment de malaise à l’embauche, alors que les missions correspondent à nos attentes.
 
Pourquoi ? Une piste d’analyse possible est celle d’une « rupture » entre nos représentations vis-à-vis de notre relation à l’employeur·se et ce qui se joue en réalité… Ainsi, « le contrat psychologique » dans sa forme souhaitée regroupe ce que le lieu de travail doit représenter pour nous, à un moment donné. Ces représentations sont fortement connectées à la satisfaction, l’engagement, ou à l’inverse le désengagement ou l’intention de partir. Comment le contexte contemporain peut potentiellement rabattre les cartes du Contrat Phycologique Souhaité ?
 
Après un contexte hors-norme dû à la crise sanitaire et la possibilité d’expérimenter des modalités de travail nouvelles, le contexte se restabilise.
Pour autant, sommes-nous resté·es les mêmes vis-à-vis de nos attentes envers notre employeur·se ? Il semblerait qu’un des enjeux des employeurs·ses soit de prêter une attention particulière à ces (nouvelles) attentes des collaborateurs et collaboratrices, afin d’ouvrir un espace de dialogue sur les attentes réciproques, entendu que celles-ci ne sont pas immuables…
Nous explorerons les attentes, en matière de CPS, liées aux générations pour tirer des enseignements et points de vigilance.